Voilà l'été, j'aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s'éclaircit
Et dans ma tête qui bourdonnent ?
Les Moskitos !
J'entends rugir les Bouftous d'ici

C'est le retour des amours qui nous chauffent
Les oreilles, il fait si chaud
Qu'il nous pousse des Brâkmars
C'est le bonheur rafraîchi d'une bière
Les Crâs sont belles et les dieux sont ravis.

Enfin l'été

Enfin l'été, mais y'a déjà plus d'kamas
Le tout Bonta se transforme en phobie
Le zaap sue, tout devient virulent
Dans ses bottes, le passager abruti
A dix doigts d'pied qui s'expriment violemment
Y'a plus d'amis les voisins sont partis
L'été Bonta c'est plutôt relaxant
On rêve de plage
Et la mer d'Asse est jolie.

Toujours l'été c'est pas du superflu
Il fait trop chaud, l'soleil m'abasourdit
Pain d'Amakna sous les bras j'avance dans la rue
J'pense à ces cons qui s'font chier dans la Sufokia
Tous ces Sadidas qui vont cuire dans leurs jus
Tous ces noyés, la mer quelle terreur
Et sur les routes les Drago' ça vous tue
Vivement l'automne, je me sens tout aigri.

Toujours l'été

Voilà l'été, j'aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s'éclaircit
Et dans ma tête qui bourdonnent ?
Les Moskitos !
J'entends rugir les Bouftous d'ici
Voilà l'été, j'aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s'éclaircit
C'est le bonheur rafraîchi d'une bière
Les Sacrieurs sont belles et les dieux sont ravis.

Voilà l'été
Enfin l'été
Toujours l'été
Encore l'été

D'après les ménestrels Les négresses vertes et leur chanson Voilà l'été.